Grande préoccupation du moment : la pandémie du Covid-19.
Maladie infectieuse, elle est transmise par des personnes porteuses du virus par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lors d’une toux ou éternuement1. Une personne est susceptible de contracter l’infection, si elle rentre en contact direct avec un malade et inhale les gouttelettes porteuses du virus, ou si elle touche des objets ou surfaces contaminées et par la suite toucherait ses yeux, son nez ou sa bouche.
Mais venons-en au vif du sujet : la contagion par les surfaces.
Bien entendu, les surfaces contaminées peuvent être de différents matériaux : plastique, acier, papier ou tissu.
Quid des rues et du matériel urbain ? Peut-on les considérer comme vecteurs de maladie, et par conséquent, recevoir un protocole de désinfection adéquat ?
Afin d’aplatir la courbe, de manière à ce que le nombre de personnes nécessitant une hospitalisation reste inférieur aux capacités des hôpitaux, plusieurs villes ont opté pour la désinfection de leurs artères afin d’endiguer la propagation de l’épidémie, au même titre que le confinement, et autres mesures, prises par les gouvernements.
Par honnêteté intellectuelle, force est de souligner qu’il n’existe aucune preuve à l’instant où cet article est rédigé, que cette mesure soit efficace. En effet, le monde de la santé s’accorde au sujet des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale adoptées pour lutter contre ce virus. Cependant, quant à l’efficacité de la désinfection des rues et du mobilier urbain, on est loin de l’unanimité. Certains d’entre eux, ironisent même que « nobody goes around licking sidewalks or trees »2, ou qu’on ne touche pas l’asphalte avec les mains.
Mais les autorités compétentes, ont toujours invoqué le principe de précaution, étant donné que, dans le doute, deux précautions valaient mieux qu’une. N’oublions pas non plus, que l’effet placebo n’a jamais été aussi vrai, puisque les habitants des villes préfèrent que les rues soient désinfectées que pas du tout. Pour assurer la sûreté des usagers de transports en communs, les autorités ne bronchent pas sur la désinfection de ceux-ci.
Il est utilisé de l’eau de javel diluée, l’ingrédient actif étant l’hypochlorite de sodium, il a une efficacité virucide, et un impact sur l’environnement tout aussi établi. En grandes quantités, elle est hautement corrosive, et causerait des dommages irréversibles pour les sols.
Molécule composée d’acide hypochloreux (HClO), d’un ion de chlore, de dioxyde de chlore, d’ozone, de peroxyde d’hydrogène et d’oxygène libre, l’An-Eco®, est une solution électro-activée, qui demeure tout aussi efficace comme désinfectant (170 fois plus puissant que l’eau de Javel), même à faible teneur en acide hypochloreux, et du fait qu’elle soit naturelle, ne représente aucun risque pour l’environnement. En effet, elle est produite à travers l’utilisation du sel de cuisine (NaCl), de l’eau et de l’électricité sans l’intervention d’aucun additif chimique.
Les besoins criants du corps médical en matériel de protection, seraient dénués de sens s’il n’est pas procédé à une désinfection systématique et, en profondeur, des lieux et des dispositifs médicaux. L’hygiène hospitalière est fondamentale, ainsi, des efforts toujours plus soutenus y sont consentis, afin de réduire au plus bas le nombre d’infections nosocomiales des patients admis.
La désinfection à l’An-Eco® des surfaces, par nébulisation, est une solution facile à déployer, économique, mais surtout, sans conséquence sur l’environnement ou la santé des personnes qui rentreraient en contact direct avec le produit. De grandes structures hospitalières en Italie l’utilisent depuis déjà plus de 8 ans, et en sont particulièrement satisfaits.
En conclusion, #restez à la maison, #restez vigilants, et surtout gardez à l’esprit ce qu’a dit Nikolaï Gogol dans Les âmes mortes :
« Plus contagieuse que la peste, la peur se communique en un clin d’oeil. »
M.E-J
Bibliographie :
1Maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) : questions-réponses
https://www.who.int/fr/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public/q-a-coronaviruses
2Does disinfecting surfaces really prevent the spread of coronavirus?
https://www.sciencemag.org/news/2020/03/does-disinfecting-surfaces-really-prevent-spread-coronavirus
Glossaire
Infection nosocomiale – Selon l’OMS, une infection nosocomiale ou infection hospitalière peut être définie comme suit : infection acquise à l’hôpital par un patient admis pour une raison autre que cette infection. Infection survenant chez un patient à l’hôpital ou dans un autre établissement de santé et chez qui cette infection n’était ni présente ni en incubation au moment de l’admission. Cette définition inclut les infections contractées à l’hôpital mais qui se déclarent après la sortie, et également les infections professionnelles parmi le personnel de l’établissement.